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Le Souvenir Français est une association Loi 1901, fondée en 1887 par François Xavier NIESSEN, et reconnue d'utilité publique le 1er février 1906 qui est investie d'une triple mission d'entretenir, de conserver et de transmettre :

• Conserver le souvenir de ceux qui sont morts pour la France,
• Entretenir les tombes, les monuments commémoratifs et les carrés militaires,
• Transmettre le flambeau du souvenir aux générations successives.

L' association a pour vocation d'honorer la mémoire de tous ceux qui sont morts pour la France qu'ils soient Français ou Étrangers.

Fonctionnement de l'association :

Il y a une délégation par département, et plus de 1690 Comité Locaux en France et 70 représentations à l'Étranger. Le bénévolat est de règle pour le fonctionnement de l'association. Le Souvenir Français est placé sous le haut patronage du Président de la République. Il a été couronné par l'Académie Française en 1975 et par l'Académie des Sciences Morales et Politiques en 1978.

La mission : aucune tombe de "Morts pour la France"  ne doit disparaître des cimetières communaux, aucun monument, aucune stèle combattante ne doivent être à l'abandon.

Le Comité comporte 12 communes du Canton de Saint-Christophe-en-Bazelle. Il est rattaché à la délégation générale de l'Indre qui elle-même est rattachée au Contrôleur Général des Armées et Président du Souvenir Français.  Le siège du Comité est situé à Poulaines (8 rue du Château).

Il est composé de 12 membres : 4 membres bureau et 8 membres actifs. Le Comité assure l'entretien de 8 cimetières, ce qui représente : 24 tombes, 15 tombes des carrés militaires, 5 stèles et 1 monument.

Les ressources proviennent des subventions demandées aux communes du Canton (Saint-Christophe-en-Bazelle, Poulaines, Chabris et Val-Fouzon), des cotisations de nos adhérents et de la quête nationale le 1er novembre aux portes des cimetières.

Gérard HEUZE, Président, et Michel GIRAULT nous ont fait part de leurs inquiétudes quant à l'avenir de l'association.

C'est pourquoi ils essaient de faire prendre conscience de l'intérêt de souvenir aux plus jeunes, par exemple lors de la cérémonie du 11 novembre, en distribuant des mini-drapeaux et en les incitant à chanter la Marseillaise.